outil pour se développer à l'international

Comment Koomeo vous accompagne dans votre développement à l’international ?

Une gestion de projets optimisée

Avec Koomeo, vous créez et livrez des projets de traduction volumineux en plusieurs langues avec rapidité et simplicité. Notice technique, mode d’emploi, interface utilisateur d’un programme informatique…vos documents sont implémentés facilement dans Koomeo.

Vous choisissez quels seront les collaborateurs qui auront accès au document et quels seront leurs rôles (traducteur, relecteur, chef de projet…). Koomeo propose une gestion des droits intelligente et personnalisable. Désactivation, droits modifiables pour une personne en particulier ou pour un groupe de personnes…cela vous permet d’optimiser la gestion de projet.

Via les tableaux de bord, vous aurez une vision claire et rapide des activités de chacun et de l’avancée de vos projets.

Les équipes de Koomeo vont intégrer rapidement des outils complémentaires qui amélioreront la collaboration comme le partage de fichiers, liste des choses à faire (to-do list), calendrier partagé…

 

Oublié l’obstacle de la langue

Un des obstacles principaux à franchir pour accéder aux marchés étrangers reste celui des limitations linguistiques. En effet, la langue est souvent considérée comme un paramètre de singularité et de fierté culturelle. Votre documentation commerciale et technique doit donc s’adapter aux besoins locaux !

Koomeo tient compte de cette problématique et vous permet de faire appels à des collaborateurs, externes ou internes, experts dans les langues des pays où vous souhaitez vous implanter. Ils pourront intervenir comme traducteurs ou relecteurs afin de faire correspondre au mieux votre documentation professionnelle au public visé.

De plus, la plate-forme joue un rôle centralisateur qui permet un meilleur suivi des documents et de leurs mises à jour éventuelles.

 

Pour résumer

Koomeo est l’outil qui intègre gestion de projets multilingues et communication. Un véritable plus pour les équipes de projets internationaux qui trouvent l’ensemble des informations nécessaires au bon déroulement d’un projet au même endroit! La distance physique est gommée et la collaboration accentuée. Vous êtes prêts pour commercialiser vos projets à l’étranger, l’esprit serein ! L’accès rapide aux documents importants, quelle que soit la langue, est assuré afin de faciliter la gestion et le succès de vos projets.

Koomeo vous accompagne dans votre stratégie d’internationalisation en vous offrant plus de contrôle sur votre documentation commerciale et technique.

Peut-on entreprendre sans se projeter à l’international ?

A l’heure des start-up, d’Internet et de la mondialisation, est-il possible, pour une entreprise, de ne pas chercher à s’exporter ? Le territoire national est-il suffisant à la pérennisation de l’activité ?  Le développement du chiffre d’affaires passe-t-il par l’internationalisation ? Cependant, est-ce que se projeter au-delà de ses frontières est une ambition inscrite dans l’ADN de toutes les entreprises ? Nous allons tenter d’apporter un éclairage à ces questions.

 

L’internationalisation, un relai de croissance

Le « succès » d’une entreprise est aujourd’hui synonyme de la portée mondiale de son activité, de ses produits.

Les échanges internationaux ouvrent la voie à de nouvelles opportunités, de nouveaux marchés. Un véritable relai de croissance pour les entreprises qui ont su profiter des opportunités offertes par l’export. Par exemple, Coca-Cola, Nike ou encore Samsung ont su faire fructifier leurs commerces.

Il est important de noter que l’internationalisation va dépendre de l’activité de l’entreprise. En effet, ces dernières années, on a pu remarquer que les entreprises proposant des services de hautes technologies et/ou dématérialisés, ont plus de facilitées à s’exporter (pas de problème logistique…).

 

Les start-up : des licornes pas comme les autres

Les fameuses « start-up » sont généralement des exceptions. Nées dans une société hyper-connectée et mondialisée, l’internationalisation est inscrite dans leur ADN. Avant même d’être créées, les start-up pensent « global ».

Pourtant, encore peu d’entre elles peuvent se vanter d’un succès mondial.

 

Pour résumer

Se tourner vers l’international n’est pas chose facile pour toutes les entreprises. Même si l’époque dans laquelle nous vivons a bouleversé les règles de l’économie et de l’entreprise, toutes les activités entrepreneuriales n’ont pas vocation à s’exporter. Les licornes restent des espèces rares…

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Haro sur l’anglais !

L’anglais est partout. Personne ne peut nier l’omniprésence de cette langue utilisée à outrance dans des domaines comme le marketing, le tourisme ou le sport. Mépris des cultures sur leurs propres territoires ? Disparition progressive de milliers de langues ? La résistance s’organise ! Haro sur l’anglais !

 

La négation de la langue dans un seul but mercantile

Le collectif COURRIEL (collectif unitaire républicain pour la résistance , l’initiative et l’émancipation linguistique) a été créé à Lens en 2008. Ces « résistants » voient l’usage de l’anglais comme un manque d’imagination. Comment les services publiques peuvent-ils également privilégier l’anglais ? Cela parait impensable pour ses défenseurs de la langue française. Le français n’a pas a être marginalisé sur son propre territoire !

L’ennemi des 250 membres du COURRIEL est le « globish », cette version simplifiée de l’anglais n’utilisant que les mots et les expressions les plus communs de cette langue. Le collectif se bat contre cette uniformisation énorme à l’échelle transcontinentale. Pour eux, l’usage de l’anglais peut être jugé discriminatoire car l’ensemble des populations ne comprennent pas forcément cette langue, même dans une utilisation simplifiée. COURRIEL prend l’exemple de l’Union Commerciale Lensoise « Shop’in Lens » qui invitait les lensois à devenir des « shoppers ».

 

Le Pays de Galles, « laboratoire de survie »

Huit langues disparaissent chaque année. Avec elles, ce sont autant de cultures qui sont oubliées, d’histoires de peuples qui se perdent.

Le Pays de Galles est aujourd’hui considéré comme un « laboratoire de survie ». En effet, le premier ministre souhaite doubler le nombre de locuteurs du kymrique, la langue celtique régionale, pour atteindre le million d’ici 2050.

Un plan ambitieux étant donné que la langue galloise a perdu, en dix ans, 2% de locuteurs. La proportion des personnes parlant kymrique est aujourd’hui à 19% et des bastions traditionnels sont même passés sous la barre des 50%.

Afin de garantir la survie de la langue galloise, il faudra que, dans les vingt ans à venir, plus des trois quarts des enfants âgés de 7 ans soient inscrits à une école qui a pour langue principale le kymrique ! Un bel exemple en matière de dynamisation d’une langue en sursis. Même si l’objectif reste compliqué à atteindre (nombre important d’enseignants à former…), le Pays de Galles inspire d’autres peuples qui souhaitent sauvegarder leur « patrimoine » linguistique comme, par exemple, les irlandais.

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Xavier Roca – Sipleo

Quand nous avons conçu Sipleo, notre IPBX, nous n’avions pas pensé une seule seconde que notre logiciel pourrait avoir une vie hors de nos frontières. Mais depuis quelques temps, au fil des rencontres et des opportunités que nous avons pu rencontrer, nous avons reçu de la demande provenant de l’étranger. Notre équipe s’est retrouvée bien embêtée car il n’est pas si simple de passer toute l’interface utilisateur, d’un logiciel qui est en production depuis des années, en multilingue.

 

Avec Koomeo, cela a été facilité. Nous utilisons leur plug-in Visual Studio (nous développons en C# et C++ essentiellement) afin de « parser » notre code source. L’outil nous permet de cibler les parties de textes à traduire dans notre script. Cela nous facilite grandement la tâche.

Ensuite, un projet est créé sur la plate-forme Koomeo. L’aspect pratique de cet outil pour des éditeurs de logiciels comme nous est la prise en compte du « versionning ».

 

Les évolutions d’un logiciel sont constantes. C’est un travail complexe que de répertorier l’ensemble des textes et des traductions pour chacune des versions. Grâce à Koomeo, nous gagnons un temps précieux et gardons une trace de toutes les versions de notre logiciel. Nous en avons même profité pour classer les documentations techniques et leurs traductions sur la plate-forme.

Grâce à Koomeo, notre IPBX Sipleo est aujourd’hui disponible en 6 langues (Français, Anglais, Italien, Espagnol, Allemand, Portugais).

Traducteurs de jeux vidéo : un métier presque comme les autres

« Localisation » plutôt que « traduction »

 

Un jeu vidéo à vocation à passer dans les mains de joueurs partout dans le monde. Il faut savoir adapter le script audio (pour un jeu parlant) et le vocabulaire utilisé au public ciblé. Par exemple, les références culturelles, tout comme les blagues ou jeux de mots, ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre.

Ce travail est particulièrement important, d’autant plus quand le jeu à vocation à être doublé ! Des contraintes de longueur s’ajoutent à celles rencontrées traditionnellement par le traducteur comme l’homogénéisation du vocabulaire utilisé.

 

Harmonisation et spécificités

 

En effet, la traduction doit donner une continuité et une cohérence au jeu, d’autant plus quand le traducteur n’est pas seul à travailler sur le projet (équipe de traduction en interne, appel à des freelance…).

Par exemple, le terme « firepower » devra être traduit « puissance de feu » tout au long du jeu. D’autres mots pourront ne pas être traduits. C’est souvent le cas des titres de jeux qui sont des marques déposées comme « Call of Duty ». Si le nom du jeu était traduit, il faudrait déposer un nom de marque dans chaque pays où le jeu s’est exporté, faire appel à des juristes et des avocats, perdre beaucoup de temps et d’argent.

 

Des difficultés récurrentes

 

Le traducteur de jeu vidéo n’échappe pas aux difficultés rencontrées par les traducteurs exerçant dans d’autres domaines.

Délais souvent très courts, vocabulaire spécifique au jeu sans avoir le contexte, demande de précision restée sans réponse…peuvent mener à des traductions faites « à l’aveugle » et à une altération de la qualité du jeu pour le « Gamer ».

La traduction, un art délicat !

 

Traduire, c’est de la gymnastique !

 

Une bonne traduction demande un véritable travail de compréhension afin de transcrire la pensée, le but original de l’auteur.

Traduire consiste à comprendre le chemin intellectuel qui a été emprunté par l’auteur. Mais cela peut s’avérer difficile dans certaines situations.

Comment traduire un calembour, un nom de personnage fictif, une blague ? Une véritable gymnastique !

 

Panoramix, Luke Skywalker, Poudlard et les autres

 

Par exemple, « Hogwarts », l’école de sorciers où se rend le célèbre Harry Potter, se traduit littéralement par « Cochon à verrue ». Jean-François Ménard, le traducteur d’Harry Potter en langue française, a ainsi mélangé « Poux » et « Lard » pour trouver le nom de la fameuse école : « Poudlard ».

Certains traducteurs se distinguent parfois comme pour l’auteure des Astérix en langue Anglaise, Anthea Bell. Elle n’a pas résisté à renommer le druide gaulois « Panoramix » en « Getafix ». Petit clin d’œil à la potion magique chérie par Obélix et ses comparses. En effet, « To get a fix » signifie « avoir sa dose ».

Certaines traductions, sont parfois jugées trop littérales. Ce fût le cas de Luc Courleciel dans la première version française de Star Wars. Les producteurs ont trouvé plus raisonnable de redonner à Luke Skywalker son véritable nom dans les versions suivantes.

 

Trump, un véritable casse-tête !

 

L’élection de Trump pose également quelques problèmes aux traducteurs.

En effet, le vocabulaire limité utilisé par Trump peut mettre les traducteurs en difficulté.

Faut-il traduire l’homme comme il parle en sachant que son vocabulaire est comparable à celui d’un élève de 6ème ?

Répétition des mêmes mots et mêmes expressions, syntaxe approximative…de là à dire que cette pauvreté de vocabulaire traduit un vide dans sa pensée…nous vous laissons seuls juges !

Mais au fait, comment traduire “fake news” en français ?